Dans la nuit du 4 au 5 mars 1932, à deux heures du matin, Marie-Anne Bouhet décède chez ses enfants, à la Gaucherie, commune de Coulombiers, qui avait tout juste eu 100 ans le 30 novembre précédent.
Les années ont fini par triompher de la robustesse de cette vénérable centenaire, qu'une vie de labeur n'avait pas usée.
Les années ont fini par triompher de la robustesse de cette vénérable centenaire, qu'une vie de labeur n'avait pas usée.
Marie-Anne Bouhet était née le 30 novembre 1831 à la Tourette de Lusignan, de Pierre, cultivateur, et de Marie Gauthier. Elle vivait avec ses parents aux Ruffinières de Jazeneuil, lorsqu'elle y épousa, le 25 avril 1854, Joseph Chargelègue, cultivateur au Fontioux, commune de Marçay, fils de Louis, aussi cultivateur, et d'Angélique Bouchet.
Elle ne quitta plus le canton de Lusignan, et eut huit enfants — seuls deux sont encore vivants à sa mort — et dix-sept petits enfants, ainsi que trente-et-un arrière-petits-enfants et six-arrière-arrière-petits enfants.
Elle était entourée par toute sa famille et ses amis lorsque, le 29 novembre 1931, le bourg de Coulombiers a célébré avec un éclat tout particulier les cent ans qu'elle portait allègrement. Malgré son âge, la centenaire, qui ne travaillait plus depuis quelques années — et parce qu'on le lui avait interdit — ne suivait aucun régime particulier.
Elle était d'une lucidité et d'une vivacité étonnantes.
Sources et extraits : L'Avenir de la Vienne, 6 mars 1932.
Elle ne quitta plus le canton de Lusignan, et eut huit enfants — seuls deux sont encore vivants à sa mort — et dix-sept petits enfants, ainsi que trente-et-un arrière-petits-enfants et six-arrière-arrière-petits enfants.
Elle était entourée par toute sa famille et ses amis lorsque, le 29 novembre 1931, le bourg de Coulombiers a célébré avec un éclat tout particulier les cent ans qu'elle portait allègrement. Malgré son âge, la centenaire, qui ne travaillait plus depuis quelques années — et parce qu'on le lui avait interdit — ne suivait aucun régime particulier.
Elle était d'une lucidité et d'une vivacité étonnantes.
Sources et extraits : L'Avenir de la Vienne, 6 mars 1932.
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